Xilium. Designed by Martin Ballendat
Plus d'un million de personnes se sont déjà assises sur ses chaises, et ses créations ont remporté plus de 150 prix. Le dernier en date est très spécial : il s’agit d’un prestigieux Mixology Award. Martin Ballendat, qui s’est vu décerner le titre de designer de l'année 2019, nous parle du processus de création de nouveaux mobiliers et des défis qu’il a du relever afin de concevoir de notre dernier siège Xilium.
Les Mixology Awards, qui comptent parmi les prix les plus prestigieux du secteur de la décoration intérieure, sont décernés par le magazine britannique Mix-Interiors. Les lauréats de cette année ont été désignés par un jury indépendant composé d’architectes, de designers et de consultants expérimentés. Les résultats du concours ont été annoncés lors d’un gala organisé au Old Billingsgate Building à Londres, qui offre une vue imprenable sur le Tower Bridge.
En parallèle, dans le dermier épisode d’Office talks, le lauréat du Mixology Award, Martin Ballendat, nous livre les secrets de son travail et revient sur la fabrication de notre dernier fauteuil, Xilium.
Vous êtes surnommé « Mr. Chairman ». Avez-vous déjà réfléchi sur le nombre de personnes qui s'assoient sur les sièges que vous avez conçus ?
Combien de personnes ? Un million, à coup sur. Beaucoup, je dirais, un très grand nombre. Disons, cela fait trente ans que je suis dans la branche, et pendent ce temps, j'ai créé plus de deux millions de meubles. Chacun de ces meubles est utilisé par plusieurs personnes, quelque part au monde. Donc oui, c'est vrai : il y a énormement de gens qui utilisent mes sièges.
Quel était pour vous le plus grand défi du projet Xilium?
Avant tout, la création, le projet d'un siège de bureau est le plus grand des défis pour un designer de mobilier. Vous ne pouvez pas imaginer le nombre d'éléments à prendre en compte par le créateur. Il doit répondre à tant de normes, de contraintes tarifaires, de critères ergonomiques et esthétiques : cela fait tellement de facteurs à la fois. Créer un siège de bureau est donc pour nous l'épreuve la plus difficile qui soit.
Comment choisissez-vous le meilleur partenaire en affaires ?
Afin de réaliser un siège vraiment à la pointe de technologie, il faut investir. Investir dans les moules, les outils, les structures. Et pour beaucoup investir, il faut être une grande entreprise qui compte. Une grande multinationale, comme par exemple Nowy Styl. À ce moment, nous sommes en mesure de relever le défi et de réaliser un produit technologiquement avancé. Cela n'est pas possible sans investissement. Il faut planifier plusieurs exemplaires du produit et beaucoup investir.
Qu'est-ce qui distingue Xilium ?
Là, il faut que je revienne sur les fonctionnalités supplémentaires de ce siège. Comme je viens de préciser, nous avons perfectionné et mieux étudié le produit, en nous basant sur notre expérience. Cette fois, il y a un nouvel aspect : le siège Xilium permet un nouveau genre de mouvement, qui est la rotation du dossier. Désormais, il est possible de bouger non seulement dans la direction du dossier, mais également sur les côtés. C'est donc un mouvement dans toutes les directions. Grâce à cette fonctionnalité, l'utilisateur peut s'asseoir presque dans toutes les positions, conformément aux principes de l'ergonomie. Une des qualités uniques du siège Xilium - vous pouvez le vérifier, en comparant avec d'autres sièges sur le marché - est un véritable soutien, bien perceptible, du dos de l'utilisateur, même lorsqu'il est fortement penché vers l'avant.
Avez-vous une position préférée ?
Bien entendu, je travaille assis, mais pas uniquement. J'ai un endroit préféré pour travailler sur mes projets. En fait, j'ai un autre atelier en Autriche, au bord du lac Attersee, où j'adore admirer le paysage : il y a un lac, des montagnes et vallées. C'est là-bas que je dessine, et je le fais assis.
Combien de personnes ? Un million, à coup sur. Beaucoup, je dirais, un très grand nombre. Disons, cela fait trente ans que je suis dans la branche, et pendent ce temps, j'ai créé plus de deux millions de meubles. Chacun de ces meubles est utilisé par plusieurs personnes, quelque part au monde. Donc oui, c'est vrai : il y a énormement de gens qui utilisent mes sièges.
Quel était pour vous le plus grand défi du projet Xilium?
Avant tout, la création, le projet d'un siège de bureau est le plus grand des défis pour un designer de mobilier. Vous ne pouvez pas imaginer le nombre d'éléments à prendre en compte par le créateur. Il doit répondre à tant de normes, de contraintes tarifaires, de critères ergonomiques et esthétiques : cela fait tellement de facteurs à la fois. Créer un siège de bureau est donc pour nous l'épreuve la plus difficile qui soit.
Comment choisissez-vous le meilleur partenaire en affaires ?
Afin de réaliser un siège vraiment à la pointe de technologie, il faut investir. Investir dans les moules, les outils, les structures. Et pour beaucoup investir, il faut être une grande entreprise qui compte. Une grande multinationale, comme par exemple Nowy Styl. À ce moment, nous sommes en mesure de relever le défi et de réaliser un produit technologiquement avancé. Cela n'est pas possible sans investissement. Il faut planifier plusieurs exemplaires du produit et beaucoup investir.
Qu'est-ce qui distingue Xilium ?
Là, il faut que je revienne sur les fonctionnalités supplémentaires de ce siège. Comme je viens de préciser, nous avons perfectionné et mieux étudié le produit, en nous basant sur notre expérience. Cette fois, il y a un nouvel aspect : le siège Xilium permet un nouveau genre de mouvement, qui est la rotation du dossier. Désormais, il est possible de bouger non seulement dans la direction du dossier, mais également sur les côtés. C'est donc un mouvement dans toutes les directions. Grâce à cette fonctionnalité, l'utilisateur peut s'asseoir presque dans toutes les positions, conformément aux principes de l'ergonomie. Une des qualités uniques du siège Xilium - vous pouvez le vérifier, en comparant avec d'autres sièges sur le marché - est un véritable soutien, bien perceptible, du dos de l'utilisateur, même lorsqu'il est fortement penché vers l'avant.
Avez-vous une position préférée ?
Bien entendu, je travaille assis, mais pas uniquement. J'ai un endroit préféré pour travailler sur mes projets. En fait, j'ai un autre atelier en Autriche, au bord du lac Attersee, où j'adore admirer le paysage : il y a un lac, des montagnes et vallées. C'est là-bas que je dessine, et je le fais assis.
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